Selon la tradition, les adeptes se sont rassemblés à l’aube dès 9h30 devant la porte de sortie du parking pour organiser le convoyage. Le point de départ de la balade est fixé sur la place de l’église de Cornillon-Confoux.

 

J’accompagne Daniel Rançon. Nous sommes les premiers sur la place de l’église. Après un temps d’attente qui nous parait assez long, vu notre impatience à nous lancer dans cette nouvelle aventure pédestre, nous apercevons enfin le gros de la troupe avec en tête André qui possède une avance d’une cinquantaine de mètres sur les deux silhouettes qui suivent et que je devine appartenir à Jacqueline à gauche et Annie à ses cotés.

Regroupement autour de la statue d’Ikaria  ornant la place de l’église, oeuvre hautement symbolique voire quasi hermétique dont la signification, même après une âpre concertation, nous échappe complètement. Nous ne nous laissons pas abattre pour autant.

A l’appel de notre Président, nous admirons avec lui la perspective panoramique plongeante sur l’étang de Berre et la campagne qui nous en sépare.

 

Il fait beau, le ciel est bleu, une chaleur modérée, le temps idéal pour entreprendre le périple concocté par Daniel.

Nous empruntons le sentier balisé par un trait jaune dit « circuit des bories ».

Première halte, pour regarder de plus près cette première borie :

 

Deuxième halte, quelques instants après, consacrée, pour certains, à satisfaire…sans témoin et  pour d’autres :

Troisième halte pour vérifier la bonne direction :

 

Pendant que, avec sérieux, André et Claude ne peuvent qu’échanger leurs dernières recettes de cuisine à moins qu’ils soient inspirés par la crise que nous traversons :

 

Quatrième halte pour se désaltérer et reprendre sous souffle rudement mis à l’épreuve …

 

 … par un modeste dénivelé de terrain. Entre deux haltes, nous faisons quelques pas  :

 

Après deux heures d’efforts, nous devons penser à recharger les batteries :

 

Un dernier verre et nous reprenons la route :

 

Pour enfin rejoindre le clou de la balade : le mur d’abeilles. Explications du chef de groupe sur l’utilisation des ces alvéoles depuis les romains …

 

 

 

Et bien entendu nous ne raterons pas la photo traditionnelle :

 

 

Nous rejoignons alors la fin du parcours.

 

La balade fut fort sympathique, facile pour certains, plus éprouvante pour d’autres, à tel point que, arrivés sur le parking des voitures, nous nous séparons vite fait pour reprendre le chemin de nos foyers sans passer par le pont romain Flavien … Une autre fois peut-être…